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Bien-vivre et préserver sa santé après 60 ans
Accompagner un proche atteint de la maladie à corps de Lewy est un défi quotidien. Cette maladie neurodégénérative, encore trop méconnue, touche à la fois les fonctions cognitives, le comportement et la motricité. Les aidants familiaux jouent un rôle central, souvent sans préparation, face à des symptômes complexes et fluctuants.
Cet article propose des repères concrets pour aider une personne atteinte de la maladie de Lewy, mieux comprendre ses besoins, éviter l’épuisement des proches et anticiper les solutions d’accompagnement.
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La maladie de Lewy se distingue par :
Cela signifie que le comportement du proche peut varier fortement d’un jour à l’autre, rendant l’accompagnement émotionnellement difficile.
Aspect | Conseils pour l’aidant |
---|---|
Communication | Rester calme, éviter les corrections, utiliser des phrases simples et rassurantes |
Gestion des hallucinations | Ne pas confronter la personne, mais apaiser sans valider systématiquement les visions |
Mobilité | Adapter l’environnement (barres d’appui, sols dégagés), surveiller les risques de chutes |
Rythme de vie | Mettre en place une routine stable, avec des repères visuels et horaires |
Fatigue de l’aidant | Demander du répit : aide professionnelle, accueil de jour, court séjour |
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Il est indispensable de ne pas rester seul dans l’accompagnement. Les aidants familiaux ont droit à :
Il existe également des groupes de parole pour aidants, animés par des associations ou les mutualités.
L’accompagnement d’une personne atteinte de la maladie de Lewy peut entraîner des coûts importants. Plusieurs aides existent en Belgique :
L’APA (Allocation pour l’aide aux personnes âgées), en cas de perte d’autonomie
La GRAPA, si les revenus sont faibles après 65 ans
Le CPAS, en cas de précarité
Les aides des mutuelles, selon les statuts
Vous êtes aidant d’un proche atteint de la maladie de Lewy ? Vous cherchez des solutions d’accompagnement, un hébergement adapté ou des aides financières ?
Retraite Plus Belgique vous propose :
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En adoptant une communication bienveillante, en sécurisant son environnement, en créant une routine stable et en sollicitant des aides professionnelles dès les premiers signes.
Elle associe hallucinations visuelles, troubles cognitifs fluctuants, raideur musculaire et troubles du sommeil. Ces symptômes peuvent varier au cours d'une même journée.
Non, mais certains médicaments permettent d’améliorer les fonctions cognitives ou de soulager les troubles moteurs. La prise en charge reste avant tout non médicamenteuse et multidisciplinaire.
Oui, au début. Mais l’évolution nécessite souvent une adaptation du logement ou un passage progressif vers une solution d’accueil médicalisé.
L’APA, la GRAPA, l’aide du CPAS et les services de soins à domicile peuvent être mobilisés. Retraite Plus Belgique vous aide à identifier les bons dispositifs.
Nos conseillers vous orientent gratuitement vers des établissements adaptés à votre état de santé, votre budget et votre région en Belgique.
Appelez-nous au 02 318 04 78 pour une recherche personnalisée.
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