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Bien-vivre et préserver sa santé après 60 ans
La maladie de Parkinson se caractérise par la disparition de cellules nerveuses mais savez vous quels peuvent être les facteurs de risques de la Maladie de Parkinson? Retraite Plus vous en parle en vidéo :
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Le facteur de risque le plus largement reconnu pour la maladie de Parkinson est l'âge. Cette maladie a tendance à se manifester plus fréquemment chez les personnes âgées, avec un risque accru à mesure que l'on vieillit. La plupart des cas sont diagnostiqués après l'âge de 60 ans, bien que des cas plus précoces, appelés Parkinson juvénile, puissent également survenir.
Les facteurs génétiques jouent également un rôle important dans le risque de développer la maladie de Parkinson. Si la majorité des cas ne sont pas directement hérités, des mutations génétiques spécifiques peuvent accroître la prédisposition à la maladie. Les antécédents familiaux de Parkinson peuvent également augmenter le risque, suggérant une composante génétique complexe.
Certains environnements de travail ou expositions à des substances toxiques ont été étudiés en relation avec le risque de développer la maladie de Parkinson. Des liens ont été établis entre l'exposition à des pesticides, des herbicides, des métaux lourds et d'autres substances chimiques, bien que la nature exacte de ces associations reste un sujet de recherche actif.
Des études suggèrent que le sexe peut également jouer un rôle dans le risque de développer la maladie de Parkinson. Les hommes semblent être légèrement plus susceptibles d'en être atteints que les femmes. De plus, des recherches explorent la relation complexe entre les hormones, en particulier l'œstrogène, et le risque de Parkinson chez les femmes.
Les traumatismes cérébraux, en particulier ceux impliquant des lésions à la tête, ont été étudiés comme des facteurs de risque potentiels de la maladie de Parkinson. Des recherches approfondies tentent de comprendre comment les blessures cérébrales peuvent influencer le développement de cette maladie.
Facteur | Impact estimé | Comment limiter le risque ? |
Âge avancé | 90% des cas apparaissent après 60 ans | Prévention impossible, mais dépistage précoce recommandé |
Prédisposition génétique | 10-15% des cas sont liés à des mutations héréditaires | Suivi médical renforcé en cas d’antécédents familiaux |
Exposition aux pesticides | Risque accru de 50% selon l’OMS | Limiter l’exposition, utiliser des protections, consommer bio si possible |
Traumatismes crâniens | Corrélation observée avec des cas précoces | Port du casque lors des activités à risque, suivi après un choc |
Mode de vie | Sédentarité et stress aggravent le risque indirectement | Activité physique régulière, alimentation équilibrée, gestion du stress |
Sexe masculin | Légère prédominance chez les hommes | Prévention non spécifique, importance du dépistage |
Facteur de risque | Pourcentage ou prévalence | Source |
---|---|---|
Antécédents familiaux | 10-15% des cas de Parkinson sont liés à des gènes | Études génétiques 2023 |
Exposition aux pesticides | Risque accru de 50% en cas de contact prolongé | Organisation mondiale de la santé (OMS) |
Âge | 90% des cas apparaissent après 60 ans | Études épidémiologiques |
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La surexposition à certains pesticides, l'exposition aux métaux, l'exposition à des toxines non métalliques ou la survenue d'un traumatisme crânien peuvent constituer des facteurs de risques.
Les facteurs les plus fréquemment identifiés sont l’âge avancé, les antécédents familiaux, le sexe masculin et l’exposition à certaines substances toxiques comme les pesticides.
Le risque de développer la maladie de Parkinson augmente significativement après 60 ans. C’est l’un des principaux facteurs de risque.
Elle touche plus souvent les hommes que les femmes, même si la cause exacte de cette différence reste inconnue.
Oui, dans certains cas. Avoir un parent atteint peut légèrement augmenter le risque, surtout en cas de forme familiale précoce de la maladie.
L’exposition prolongée à des produits chimiques agricoles comme les pesticides ou herbicides est associée à un risque plus élevé de développer la maladie, notamment dans les zones rurales.
Un mode de vie sédentaire, le stress chronique et une mauvaise hygiène alimentaire peuvent être des facteurs aggravants indirects, bien qu’ils ne soient pas des causes directes.
Des études ont observé une incidence plus faible de la maladie chez les fumeurs et les consommateurs réguliers de café, mais ces pratiques ne sont pas recommandées pour la prévention.
Oui, des antécédents de traumatismes crâniens répétés ou sévères peuvent augmenter le risque de développer la maladie.
Il n’existe pas de méthode de prévention garantie. Toutefois, adopter un mode de vie sain, pratiquer une activité physique régulière et limiter l’exposition aux produits toxiques sont des mesures recommandées.
En cas de tremblements au repos, de lenteur inhabituelle dans les mouvements, de raideurs musculaires ou de troubles de l’équilibre, il est important de consulter un médecin pour un dépistage précoce.
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Pour en savoir plus sur le sujet, regardez cette vidéo Retraite Plus :
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