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Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme en Belgique. Il touche principalement les hommes de plus de 50 ans et son évolution est souvent lente. Pourtant, un diagnostic précoce permet d’améliorer considérablement le pronostic. Quels sont les symptômes du cancer de la prostate ? À quel âge faut-il envisager un dépistage ? Quels sont les traitements disponibles ? Découvrez dans cet article toutes les réponses à vos questions.
Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui se forme à partir de cellules anormales dans la prostate, une glande située sous la vessie. Dans la majorité des cas, il évolue lentement, sans provoquer de symptômes notables pendant plusieurs années. Il peut cependant devenir agressif et former des métastases si le diagnostic est tardif.
Souvent silencieux, ce cancer peut ne provoquer aucun signe au début. Lorsqu’il progresse, les symptômes suivants peuvent apparaître :
Ces signes peuvent également être causés par un adénome bénin de la prostate. Il est donc essentiel de consulter un médecin en cas de doute.
Plusieurs facteurs augmentent le risque de développer un cancer de la prostate :
Le dépistage repose principalement sur deux examens : le dosage du PSA (antigène prostatique spécifique) dans le sang et le toucher rectal. Chez les hommes sans antécédents, il est recommandé de discuter du dépistage avec leur médecin à partir de 50 ans. Pour les personnes à risque élevé (antécédents familiaux), cette discussion peut avoir lieu dès 45 ans.
Le traitement dépend du stade du cancer, de l’âge du patient et de son état de santé général. Les principales options incluent :
Surveillance active : recommandée pour les cancers peu agressifs
Chirurgie (prostatectomie) : ablation de la prostate
Radiothérapie : externe ou curiethérapie
Hormonothérapie : utilisée pour bloquer la progression de la tumeur
Chimiothérapie palliative : en cas de cancer avancé
Le choix du traitement se fait en concertation avec l’équipe médicale, en tenant compte de la qualité de vie du patient.
S’il n’existe pas de prévention absolue, certaines habitudes peuvent aider à réduire le risque :
La prise en charge du cancer de la prostate inclut également un suivi de la qualité de vie. Les effets secondaires comme l’incontinence urinaire ou les troubles de l’érection peuvent être gérés avec des solutions adaptées (rééducation périnéale, traitements médicamenteux ou chirurgicaux).
- Le cancer de la prostate est le cancer masculin le plus fréquent
- En 2022, près de 12 700 cas ont été recensés
- Le taux de survie à 5 ans atteint 98 % pour les cancers localisés
Un gonflement de la prostate est-il toujours un signe de cancer ?
Non. L’hypertrophie bénigne de la prostate (adénome) est fréquente après 50 ans et n’est pas cancéreuse.
Quels sont les premiers signes à surveiller ?
Un besoin fréquent d’uriner, une diminution du jet urinaire, des douleurs à l’éjaculation ou du sang dans les urines.
Quand faut-il se faire dépister ?
Entre 50 et 75 ans, ou dès 45 ans en cas de risque familial. Parlez-en à votre médecin traitant.
Le cancer de la prostate est-il toujours mortel ?
Non. Détecté tôt, il se traite efficacement et le taux de survie est très élevé.
Quels traitements entraînent une incontinence urinaire ?
La chirurgie peut provoquer une incontinence temporaire ou permanente, selon les cas.
Pour en savoir plus, regardez la vidéo suivante :
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